Selon un sondage de 2018 publié par l’Association des médecins vétérinaires du Québec, 61 % des vétérinaires croient que l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec devrait interdire le dégriffage. Ce chiffre grimpe à 88 % pour ce qui est des vétérinaires de trente ans ou moins.
De plus, l’Association des étudiants en médecine vétérinaire du Québec ainsi que l’Association des techniciens en santé animale du Québec s’opposent à cette chirurgie et de nombreuses cliniques vétérinaires et centres de référence québécois refusent de la pratiquer. Les chiffrent démontrent que, de façon générale, l’opposition à la procédure au sein de la profession croît sans cesse depuis 2001.
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